Les époux Fillon lourdement condamnés
Le tribunal correctionnel de Paris a condamné l’ancien Premier ministre François Fillon à 5 ans de prison dont 2 ferme et son épouse Pénélope à 3 ans avec sursis pour prise illégale d’intérêts.
Le tribunal correctionnel de Paris a condamné l’ancien Premier ministre François Fillon à 5 ans de prison dont 2 ferme et son épouse Pénélope à 3 ans avec sursis pour prise illégale d’intérêts.
A huit jours du jugement que rendra le tribunal correctionnel de Paris, le 29 juin 2020, on apprend que la justice aurait été instrumentalisée. Par qui ? Pour quoi ? Retour sur une manipulation cousue main.
L’audience du procès des époux Fillon a duré le temps de la demande de renvoi de l’affaire pour cause de grève des avocats.
Passage en revue, et dans le détail, des programmes des cinq principaux candidats à la présidence de la République sur l’un des thèmes majeurs de l’élection.
Où l’on fait appel à la mythologie (et à l’histoire symbolique) pour analyser le contexte et les ressorts de la position de François Fillon. Pas si faible qu’elle en a l’air.
L’épouse du candidat à la présidentielle est poursuivie pour complicité et recel de détournement de fonds publics dans l’affaire des emplois fictifs de Pénélope Fillon.
A moins d’un mois du premier tour, le 23 avril 2017, François Fillon semble être définitivement écarté du second tour de l’élection présidentielle si l’on en croit les sondages. Comment en est-il arrivé là ?
L’ancien Premier ministre est poursuivi, notamment, pour une kyrielle de délits présumés dans l’affaire des emplois fictifs de son épouse et de ses enfants.
Le candidat de droite à la présidentielle a finalement réussi le tour de force d’obtenir un soutien « unanime » des cadres du parti néogaulliste.
Journée décisive pour le candidat de la droite à la présidentielle. Deux rendez-vous doivent clarifier la situation.
Le président de la région Grand Est constate que « le risque est grand de voir la Droite et le Centre purement et simplement absents du second tour de l’élection présidentielle. » Voici le communiqué dans son intégralité.
Le candidat Les Républicains se rendra chez les juges le 15 mars. Mais pas question pour lui de se retirer de la course à l’Elysée. Il fustige la justice et en appelle à la démocratie. Stratégie hasardeuse. Bruno le Maire le lâche.