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Covid-19 : Cinq ans plus tard…

Aux premières heures de l’année 2020, les autorités sanitaires sont inquiètes. La veille, le 31 décembre 2019, le bureau de l’OMS en Chine est informé de cas de pneumonie d’étiologie inconnue détectés à Wuhan. Ainsi commence ce qui deviendra une terrible pandémie qui a fait 6 881 955 décès dans le monde dont 166 176 en France (chiffres arrêtés au 3 janvier 2023 par la Johns Hopkins University of medicine).

Plusieurs milliards d'individus ont été vaccinés contre la Covid (UnlemPhotos)
Plusieurs milliards d’individus ont été vaccinés contre la Covid (UnlemPhotos)

Cinq ans ! Voilà cinq ans qu’un virus sorti de nulle part tient la communauté scientifique en échec. Apparu fin 2019 en Chine, le SARS-CoV-2, agent infectieux de la COVID-19, a provoqué une déflagration sanitaire, économique et politique planétaire. Un véritable tsunami qui a emporté sur son passage les certitudes scientifiques les mieux établies. Dans les laboratoires, les chercheurs furent désemparés face à ce microbe hérissé de pointes, au comportement erratique. Dans les hôpitaux, les urgentistes furent déconcertés par la grande variété des symptômes dont souffraient les patients COVID. Ils ne comprenaient pas cette maladie. Donc, ils ne soignaient pas les malades qui mouraient par millions ! Jamais la science n’a été aussi démunie face à une pathologie nouvelle. La pandémie de COVID-19 a mis en lumière les limites la science et de la médecine.
Quant aux autorités politiques, elles naviguaient à vue, influencées par des scientifiques ignorants et/ou corrompus et des médias dévoyés aux ordres de puissants lobbies.

Où est la faille ?

On attendait beaucoup des vaccins fabriqués à la hâte par des laboratoires peu scrupuleux. Ils devaient éradiquer ce satané virus à la fin de l’année 2020. C’est l’inverse qui s’est produit. Malgré les campagnes de vaccination, le virus a poursuivi sa sinistre besogne.
Pourquoi la science fondamentale et la médecine du 21ᵉ siècle n’ont-elles pas compris ce qui se passait ? Pourquoi ne comprennent-elles toujours pas ? Où est la faille ?
C’est ce que nous avons voulu savoir en reprenant le fil des événements sur les cinq années de la pandémie. Avec pour guide un scientifique de haut niveau, Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, titulaire d’un doctorat en biologie cellulaire et microbiologie et d’une Habilitation à diriger des recherches (HDR) en biochimie.
Dès le mois de mars 2020, Jean-Marc Sabatier a décrit, pour la première fois, le mode d’action du SARS-CoV-2. Mode d’action atypique qui sera confirmé au fil des mois par les travaux de divers groupes de recherche dans le monde. Il soupçonne très tôt que les vaccins ARN messager (ARNm) pourraient « déclencher des réponses physiologiques délétères suite à une interaction de la protéine vaccinale avec un ou plusieurs de ses récepteurs ». Dès lors, le scientifique ne lâchera plus cette piste et, jour après jour, semaine après semaine, il confirmera ses premières observations par des publications qui font autorité.

La pensée scientifique anesthésiée

Cela a déplu. L’Inquisition s’est mise en marche. En août 2022, le principal moteur de recherche, mais aussi plusieurs médias sociaux, ont tout bonnement censuré https://infodujour.fr/ et les articles de Jean-Marc Sabatier. Cela dérangeait sans doute les autorités politiques et sanitaires. Mais aussi les grands groupes pharmaceutiques.
Cette prise de contrôle de l’information planétaire par les géants du numérique pour servir des intérêts financiers a de quoi inquiéter. Car elle interdit la réflexion, elle anesthésie la pensée, elle paralyse la controverse, elle empêche l’échange entre professionnels sur des questions qui touchent à ce que nous avons de plus cher : la santé. Nous estimons, au contraire, que seul le débat scientifique permet à la science de sortir de l’obscurantisme. La science n’est pas figée. Elle évolue sans cesse. Nous savons depuis Thomas Samuel Kuhn, philosophe des sciences, que le progrès scientifique n’est pas un processus cumulatif, mais qu’il procède au contraire par changements de paradigmes. Autrement dit, la pensée scientifique se réorganise autour d’axiomes nouveaux.

Le débat public biaisé

La science du 21ᵉ siècle l’aurait-elle oublié ? On comprend mal en tout cas le comportement de la communauté scientifique depuis l’apparition du SARS-CoV-2 en Chine. Comme si ce nouveau virus lui avait fait perdre ses repères et l’avait subitement éloignée de sa mission fondamentale qui consiste à produire des connaissances dans l’intérêt de tous. Comme si cet étrange virus avait aussi contaminé toutes les strates de la société.
Quel spectacle ! On a vu des médecins et des scientifiques s’étriper publiquement sur les plateaux de télévision ; on a vu des élus s’affronter méchamment jusque dans les plus hautes instances de la République ; on a assisté à des empoignades mémorables sur les réseaux sociaux. Et, pour couronner le tout, la presse a intentionnellement biaisé le débat.

Les nouveaux hérétiques

Comment en est-on arrivé là ? Pourquoi l’esprit cartésien et désintéressé qui devrait prévaloir dans toute démarche scientifique, a-t-il cédé le pas à des querelles de boutiquiers ? La réponse s’impose d’elle-même : c’est parce que dans cette affaire, la science a cédé la place au dogme. Le dogme, c’est le contraire de la raison. C’est une vérité révélée, comme il en existe dans toutes les religions. Une vérité que personne ne peut contester, sous peine d’excommunication. Il faut croire sans se poser de questions. Il faut adorer Pfizer, Moderna, AstraZeneca et autres Janssen comme on adore une divinité bienveillante et salvatrice. Et malheur aux mécréants ! Ils sont voués aux gémonies, poursuivis, pourchassés, et finalement brûlés vifs en place publique.
Les nouveaux hérétiques de la COVID-19 n’ont pas échappé à ces tourments d’un autre âge. Accusés de « complotisme » par les détenteurs de « La » vérité, ces pestiférés sont soupçonnés d’être manipulés par l’extrême-droite. Ou peut-être par l’extrême-gauche, c’est selon… Interdits de radio, de télévision, de journaux imprimés, les réfractaires à la doxa se sont réfugiés sur des supports alternatifs, ils publient films et vidéos sous le manteau pour faire entendre leur voix malgré tout. La voix des « résistants », disent-ils.

Les milliards de dollars des lobbies

Depuis cinq ans maintenant, le « dogme » Pfizer, Moderna, Janssen et autres s’est imposé tout autour de la planète sous l’impulsion de l’OMS et des milliards de dollars distribués par les lobbies. Il faut croire à tout prix aux vertus de ces « vaccins » fabriqués à la hâte par des laboratoires peu scrupuleux. On a donc vacciné à tour de bras.
Mais le virus n’a pas été éradiqué. Au contraire. Des personnes doublement ou triplement vaccinées ont attrapé une deuxième fois, voire une troisième fois la COVID-19. Comme si le vaccin agissait non pas comme un agent protecteur, mais comme un agent facilitateur d’infection, provoquant parfois lui-même la pathologie qu’il est censé combattre. Avec sa couronne hérissée de pointes « Spike », ce nouveau syndrome respiratoire aiguë sévère (SRAS) a divisé la communauté scientifique comme jamais.

Des produits de contrebande

Les autorités sanitaires et politiques, mal conseillées, annoncent tout et son contraire d’un jour à l’autre. Le criminologue Alain Bauer se moque : « Ils ont réussi à suicider la science ». Quelques médecins et scientifiques intègres essaient néanmoins de comprendre cette étrange maladie et cherchent à soulager les patients.
Car, à nos yeux, ces faux vaccins achetés à coups de milliards de dollars dans des conditions souvent opaques par les responsables politiques, comme ce fut le cas, notamment, pour la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, ces faux vaccins donc, ressemblent à des produits de contrebande élaborés à la hâte dans des laboratoires clandestins et distribués par un réseau mondial de dealers.

À la recherche de LA vérité

Avec la complicité de médecins et de scientifiques grassement rémunérés et d’une classe politique médiocre et corrompue.
Cinq ans plus tard, les faits donnent enfin raison à Jean-Marc Sabatier. Le mensonge apparaît au grand jour. Même le laboratoire Pfizer reconnaît officiellement, devant le Parlement européen, que son vaccin n’empêche pas la transmission du virus. Nous savions déjà qu’il n’empêchait pas l’infection. Ce n’était donc pas un vrai vaccin.
Mine de rien, c’est un aveu terrible. L’aveu d’un crime contre l’Humanité !
De fait, les revues scientifiques admettent enfin que les nouveaux « vaccins » anti-COVID-19 ont des effets nocifs, parfois mortels. Reste à savoir d’où vient ce virus. Des pistes nouvelles apparaissent, inquiétantes.
Nous n’avons cessé d’alerter l’opinion sur les dangers de la vaccination de masse sous contrainte. Nous avons été vilipendés, conspués, censurés. Mais nous avons continué. Et nous continuerons. Car c’est notre mission de journaliste et de scientifique de douter des informations répandues à coups de dollars. C’est notre mission de rechercher la vérité, qu’elle soit scientifique, judiciaire ou politique. Et de la dire.
Nous serons jugés par le tribunal de l’Histoire.

[Extrait du livre « Covid-19 : Le naufrage de la science » de Marcel GAY avec la complicité de Jean-Marc Sabatier (Amazon)].

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