Pourquoi la communauté scientifique s’est-elle embourbée à ce point dans l’affaire du Covid ? Pourquoi a-t-elle été tenue en échec, trois années durant, par un nouveau virus sorti de nulle part ? Ces questions dérangent, mais elles doivent être posées. Car la science a fait fausse route.
Certes, la corruption qui gangrène, hélas ! le milieu médico-scientifique peut donner une partie de la réponse. Mais elle n’explique pas tout. Car on ne peut imaginer que tous les médecins et tous les chercheurs de la planète soient corrompus. D’ailleurs, ils furent nombreux, en France et ailleurs, à s’élever contre les oukases des autorités sanitaires officielles et les publications scientifiques falsifiées. Ils ont été rapidement excommuniés, mis à l’écart, traités de complotistes, de négationnistes de la science, traduits devant la chambre disciplinaire de l’Ordre des médecins ! Même les meilleurs d’entre eux furent vilipendés, humiliés, répudiés comme de vulgaires malfrats !
Aux urgences, on intubait à la queue-leu-leu
Mais il y a tous les autres, des hommes et des femmes intègres qui, jour après jour, trois ans durant, ont apporté une caution scientifique à des études inexactes, orientées, loin de toute démarche scientifique digne de ce nom.
Pour comprendre, il faut revenir au début de la pandémie, début 2020. Tout le monde était dans le brouillard face à cette nouvelle pathologie provoquée par un virus inconnu. Dans les hôpitaux, les médecins devaient traiter un syndrome respiratoire aigu. Aux urgences, on intubait à la queue-leu-leu des patients qui ne pouvaient plus respirer. Beaucoup en mourraient, surtout les plus âgés.
On le sait aujourd’hui, médecins et chercheurs faisaient fausse route. Ils constataient chez leurs patients que la Covid-19 provoquée par le virus SARS-CoV2 ne crée pas de SDRA (Syndrome de Détresse respiratoire Aigu), mais un trouble hypoxémique d’origine vasculaire (un manque d’oxygène dans le sang d’origine vasculaire par thrombo- embolies diffuses, autrement dit des « caillots » dans les vaisseaux).
Les patients étaient lentement privés d’oxygène
Le Pr Sandro Giannini, à Bologne et quelques autres ont tiré la sonnette d’alarme. Pour eux, « la cause de la mortalité des patients Covid serait due à une thrombo-embolie veineuse généralisée, principalement pulmonaire. » Si tel était bien le cas, il fallait admettre que « les intubations [étaient] inutiles, puisqu’il [fallait] d’abord dissoudre ou prévenir les thrombo-embolies », disait-il.
En effet, il est inutile de ventiler un poumon si le sang n’arrive pas au poumon. Neuf personnes ventilées sur dix meurent d’après le Pr Giannini, car le problème est cardio-vasculaire et non pulmonaire.
Autrement dit, on soignait les patients pour une pneumonie virale alors qu’il fallait les traiter pour des troubles d’origine vasculaire. On a confondu l’effet et la cause. Des millions de patients l’ont payé de leur vie.
De nouvelles pathologies liées aux vaccins
Ce changement de paradigme constaté par les urgentistes aurait dû interroger les chercheurs qui, dans les laboratoires, traquaient le facétieux virus sous leurs puissants microscopes et cherchaient à comprendre cette nouvelle pathologie. D’autant que les problèmes cardio-vasculaires commençaient à exploser.
Lorsque les vaccins (expérimentaux) furent autorités et injectés massivement aux populations, à la fin de l’année 2020, tout le monde a cru que la pandémie serait vite éradiquée. Trois mois plus tard il fallut déchanter. Non seulement la Covid-19 n’était pas derrière nous mais de nouvelles pathologies apparaissaient, conséquences des effets secondaires des vaccins.
La science était dans l’impasse. Virologues, infectiologues, microbiologistes se sont déchirés, se traitant réciproquement de « charlatans ». Pro et antivax se sont opposés, les plus lucides appelant à un débat contradictoire. La querelle s’est rapidement invitée sur la place publique.
Ainsi, quelque 500 scientifiques (dont 170 médecins) ont adressé en octobre 2021 une lettre aux élus français (sénateurs, députés, eurodéputés, maires), au Conseil scientifique COVID-19 et au Comité Consultatif National d’Éthique (CCNE) pour aborder les questions autour de la vaccination. Et demander un débat de fond. Car, affirment-ils, les vaccins actuels ne préviennent pas efficacement la contamination, ne parviennent pas à éliminer toutes les formes graves et les décès. Il est également démontré qu’avec une couverture vaccinale élevée on n’évite ni la transmission, ni le portage, ni l’émergence de variants, disaient-ils.
Ils n’ont pas été entendus.
Or, les affections cardiovasculaires directement liées aux effets secondaires des vaccins à ARNm ont continué à progresser.
« Une proportion croissante de décès liés à la Covid-19 surviennent parmi les vaccinés, selon une nouvelle analyse des données fédérales, explique ABC News dans un article du 11 mai.
En août 2021, environ 18,9 % des décès liés à la COVID-19 sont survenus parmi les personnes vaccinées. Six mois plus tard, en février 2022, ce pourcentage proportionnel de décès était passé à plus de 40 %. Comparativement, en septembre 2021, seulement 1,1 % des décès liés à la COVID-19 sont survenus chez les Américains qui avaient été complètement vaccinés et dopés avec leur première dose. En février 2022, ce pourcentage était passé à environ 25 %. »
Une étude israélienne
En Israël, qui se flatte d’être le pays le plus vacciné au monde, une étude publiée dans Nature révèle « une augmentation des événements cardio-vasculaires d’urgence dans la population des moins de 40 ans en Israël pendant le déploiement du vaccin et la troisième vague d’infection au SARS-CoV-2. »
L’article précise : « Le nombre d’appels d’urgence hebdomadaires était significativement associé aux taux de 1ère et 2ᵉ doses de vaccin administrées à ce groupe d’âge [moins de 40 ans], mais n’était pas associé aux taux d’infection par le SARS-CoV-2. Bien qu’ils n’établissent pas de relation de cause à effet, ces résultats soulèvent des inquiétudes quant aux effets secondaires cardio-vasculaires graves non détectés induits par les vaccins et soulignent la relation de cause à effet déjà établie entre les vaccins et la myocardite, une cause fréquente de détresse respiratoire ou d’arrêt cardiaque inattendu chez les jeunes individus. »
En novembre 2022, The Epoch Times Health révéle à son tour que le virus « frappe sept fois plus les vaccinés que les non-vaccinés ». Des chiffres obtenus à partir d’une analyse des données du CDC (centre pour le contrôle et la prévention des maladies, aux Etats-Unis) de Woldometer (statistiques mondiales en direct sur la population) et de Walgreens (chaîne de pharmacies).
Malgré tout, les campagnes de vaccination ont continué, en France notamment, sous l’impulsion des surprenantes positions de l’OMS, de la HAS et du Conseil scientifique.
Les jeunes sportifs victimes des vaccins
« Christophe André, l’ancien 3e ligne qui a évolué 6 saisons au TPR alors en Pro D2, a été victime d’un malaise cardiaque avant le match de Fédérale 1, annonce le journal catalan l’Indépendant. « C’est une très grande frayeur qu’ont connu, dimanche 11 décembre, les acteurs et les spectateurs de la rencontre de Fédérale 1 entre les clubs de Grasse (Alpes-Maritimes) et Céret (Pyrénées-Orientales). Christophe André, 36 ans, joueur de Céret, ancien troisième ligne de l’USA Perpignan et d’Aix en Provence, s’est effondré sur la pelouse juste avant le coup d’envoi de la rencontre, pendant l’échauffement. »
Chacun peut le constater dans son entourage et le lire dans la presse : les sportifs sont de plus en plus nombreux à être victimes de malaises, parfois mortels, après un gros effort. Jusque-là, on n’avait pas bien mesuré l’importance du phénomène. Voilà une lacune comblée par le site suisse Vigilance Pandémie.
Le site s’appuie sur une étude scientifique de la « Division de cardiologie pédiatrique de l’hôpital universitaire de Lausanne ». Il révèle que « le nombre d’athlètes décédés depuis le début de l’année 2021 a augmenté de façon exponentielle par rapport au nombre annuel de décès d’athlètes officiellement enregistrés entre 1966 et 2004. À tel point que le nombre moyen mensuel de décès entre janvier 2021 et avril 2022 est supérieur de 1 700 % à la moyenne mensuelle entre 1966 et 2004, et la tendance actuelle pour 2022 jusqu’à présent montre que ce chiffre pourrait atteindre 4 120 % si l’augmentation du nombre de décès se poursuit, le nombre de décès du seul mois de mars 2022 étant 3 fois supérieur à la moyenne annuelle précédente. »
Plus précisément, « entre le 21 janvier et le 22 avril, 673 athlètes sont décédés. Ce nombre pourrait toutefois être beaucoup plus élevé. C’est donc 428 de moins que le nombre de décès survenus entre 1966 et 2004. La différence ici cependant est que les 1 101 décès se sont produits sur 39 ans, alors que les 673 décès récents se sont produits sur 16 mois. »
De nombreuses études vont dans le même sens. Les lésions cardiaques sont omniprésentes dans la population vaccinée, et les dommages sont diagnostiqués de multiples façons. Les taux d’insuffisance cardiaque aiguë sont maintenant 475 fois supérieurs au taux normal de base dans le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System). Les taux de tachycardie sont 7 973 fois supérieurs au taux de base. Le taux d’infarctus aigu du myocarde est 412 fois supérieur au taux de base. Les taux d’hémorragies internes, de thrombose des artères périphériques et d’occlusion des artères coronaires sont tous plus de 300 fois supérieurs au taux de base.
Les personnes entièrement vaccinées souffrent comme jamais auparavant, poursuit Vigilance Pandémie.
Comment l’explique-t-on ?
Jean-Marc Sabatier l’a dit plusieurs fois : la suractivation du récepteur « délétère » AT1R du SRA [Système rénine-angiotensine] est responsable des maladies Covid-19. Le récepteur AT1R suractivé induit une hypoxémie (faible taux d’oxygène dans le sang ; cet oxygène est principalement transporté par les globules rouges) et une hypoxie (apport insuffisant d’oxygène dans les cellules et tissus de notre organisme) associée. Ce manque d’oxygène circulant dans le corps humain est particulièrement délétère, car il induit une « souffrance » et un dysfonctionnement des cellules, tissus, et organes, pouvant conduire au décès de la personne.
Les globules rouges du sang – via l’hémoglobine – transportent l’oxygène à nos cellules, tissus et organes. Une faible quantité d’oxygène est aussi transportée par le plasma sanguin qui est la composante liquide du sang, dans lequel « baignent » les cellules sanguines (le plasma, qui représente 55% du volume total du sang, contient 90% d’eau et de très nombreuses molécules et sels). Ces globules rouges transportent également le CO₂ (dioxyde de carbone) – considéré comme un déchet – vers nos poumons pour qu’il soit éliminé.
La saturation en oxygène normale d’une personne varie de 95% à 100%. Elle est insuffisante en dessous de 95% : il s’agit d’une hypoxémie. Lorsque la saturation en oxygène du sang est inférieure à 90%, l’hypoxémie est associée à une insuffisance respiratoire (essoufflement, difficulté à respirer, cyanose, etc.), voire un syndrome de détresse respiratoire aiguë. Un traitement par oxygénothérapie est alors nécessaire.
Lors de l’effort intense, les personnes « normales » c’est-à-dire non entraînées à un sport, ne montrent pas de variation du taux de saturation en O₂ de l’hémoglobine. À l’inverse, les sportifs de haut niveau montrent une chute de ce taux de saturation, qui peut atteindre une valeur voisine de 90%. Ces derniers se retrouvent dans une situation « délétère » de désaturation sanguine en O₂, correspondant à une hypoxémie (saturation du sang en O₂ inférieure à 95%) entraînant l’hypoxie (apport insuffisant de l’O₂ aux organes, tissus et cellules), et des complications physiologiques potentielles (troubles cardio-vasculaires et/ou neurologiques). Il est notable que le défaut d’oxygénation des cellules myocardiques (muscle cardiaque) peut conduire à un infarctus du myocarde (crise cardiaque).
Ainsi, les sportifs/athlètes – via l’entraînement – favorisent une dépendance à l’oxygène (O₂) pour la production énergétique, contrairement aux personnes « normales » ne pratiquant pas de sport intensif. Dans les conditions habituelles, l’incidence de ces différences de production d’ATP par des voies métaboliques anaérobie ou aérobie est probablement négligeable.
Dans des situations atypiques telles qu’une infection au virus SARS-CoV-2 ou une vaccination anti-Covid, l’impact peut être majeur, car la protéine Spike virale ou vaccinale peut induire une hypoxémie et une hypoxie, via la suractivation du système rénine-angiotensine et de son récepteur « délétère » AT1R qui est (entre-autres) pro-hypoxémique et pro-hypoxique. L’hypoxémie et l’hypoxie (potentiellement) induites par la protéine Spike se « rajoute » à l’hypoxémie/hypoxie provoquées par l’effort physique intense du sportif/athlète, conduisant à un possible détresse respiratoire et arrêt cardiaque (le système rénine-angiotensine – qui normalement contrôle les fonctions autonomes cardiaques – est dysfonctionnel).
Les dégâts ignorés de la protéine Spike
Au fil des mois, depuis l’apparition du SARS-CoV-2, chacun a pu constater les dégâts provoqués par la protéine Spike virale ou vaccinale. Cependant, ce n’est pas la même chose. Lorsque l’on souffre de pathologies parfois graves provoquées par la protéine virale, on est victime d’une maladie que l’on n’a pas souhaitée, et personne n’y peut rien. Lorsqu’on est victime de la protéine vaccinale, on est victime d’une maladie que l’on vous a injectée, parfois sous la contrainte.
D’où les appels répétés de Jean-Marc Sabatier aux dangers de la vaccination. Dans un article intitulé Covid-19 : les limites de la vaccination [article censuré sur infodujour.fr mais repris sur contre-pouvir.info il expliquait pourquoi la vaccination pouvait, elle-même, favoriser l’infection. Parallèlement, la vaccination peut présenter des effets délétères sur le vacciné.
« Les injections vaccinales répétées d’un même antigène, quel qu’il soit (ici la protéine Spike du SARS-CoV-2), à des niveaux qui dépassent le seuil ‘’critique’’, conduisent inévitablement à un dérèglement de l’immunité innée, et à l’apparition de potentiels troubles auto-immuns. Ainsi, pour les vaccins anti-Covid-19 ail existe au moins trois bonnes raisons scientifiques de ne pas procéder à des injections vaccinales multiples, avec l’action directe et néfaste de la protéine Spike sur le SRA et l’immunité innée, la répétition de ces injections qui dérègle également l’immunité innée de l’hôte et les effets nocifs potentiels de certains adjuvants, dont les nanoparticules lipidiques. »ctuels,
Curieusement, les effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 ne sont pas encore clairement répertoriés par l’OMS et par les autorités de santé. Ils sont même parfois démentis. Au point que l’Agence européenne du médicament (AEM) mais aussi les autorités sanitaires françaises préconisent encore et toujours la vaccination, y compris pour les bébés de 6 mois (!), et même les rappels, troisième et quatrième voire cinquième dose, pour les patients les plus fragiles. C’est incompréhensible !
Jean-Marc Sabatier n’est pas le seul à alerter la communauté scientifique ‘’officielle’’. En avril 2022, le journal médical Cureus, admettait que « le profil d’effets indésirables de ces vaccins n’a pas été bien établi. Des complications neurologiques sont de plus en plus souvent signalées. Une de ces complications identifiées est la polyneuropathie inflammatoire à médiation immunitaire, qui affecte les nerfs périphériques et les neurones. »
La polyneuropathie inflammatoire démyélinisante chronique est une pathologie anticipée dès mars 2020 (par Jean-Marc Sabatier et ses collaborateurs) comme étant une maladie Covid-19, car résultant d’un dysfonctionnement du SRA.
Les séquelles post-Covid ou Covid long
A ce jour, plus de 54 millions de personnes dans le monde souffrent des effets de la Covid-19 longtemps après leur infection par le SARS-CoV-2, explique Jean-Marc Sabatier. Les symptômes et/ou maladies à long terme de la Covid-19 varient d’une fatigue sévère (persistante et invalidante) à des anomalies neurocognitives, aux troubles neurophysiologiques (vertige, perte de mémoire, désorganisation spatiale, troubles de l’humeur et du comportement, céphalées) et de perte de l’odorat (anosmie) et/ou du goût (agueusie). Ces effets indésirables plus ou moins importants selon les individus peuvent être transitoires et présenter un caractère cyclique (apparition, disparition, puis réapparition). Les séquelles persistantes post-Covid-19 ont été définis sous la dénomination de Covid long. Le Covid long est considéré, par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), comme une maladie qui dure plus de 2 mois et ne peut être expliquée par un autre diagnostic médical.
Du point de vue physio-pathologie, plusieurs pistes privilégiées ont été avancées sur l’origine du Covid long. Une première piste est la présence du virus SARS-CoV-2 latent dans l’organisme qui n’aurait pas été complètement éliminé (infection virale chronique avec des réactivations transitoires) avec ses effets délétères sur l’organisme. Une seconde piste est l’hyper-inflammation induite par le SARS-CoV-2 qui entraînerait la réactivation de microbes endogènes (par exemple : le virus d’Epstein-Barr, de la famille des herpès, présent dans 95% de la population mondiale adulte) conduisant à des effets délétères sur l’organisme, et une dernière piste qui repose sur la présence d’anticorps auto-immuns dirigés contre une ou plusieurs protéines de l’hôte (tels que le facteur VIII de la coagulation, la protéine PF4 des plaquettes sanguines, et autres). De tels anticorps auto-immuns affecteraient le fonctionnement normal de l’organisme chez les personnes atteintes.
Les autres pistes physio-pathologiques du long covid seraient des lésions organiques initiales dont les symptômes persistants sont des conséquences (dysfonctionnement épithélial, fibrose pulmonaire, microglie cérébrale, etc.), ainsi que des réactions immunitaires et inflammatoires anormales persistantes qui se compliquent (microcirculation, coagulation, fibrose, neuro-inflammation, auto-immunité, …)
Un collier de 1 273 perles
Mais à quoi ressemble cette protéine Spike ? « C’est comme un collier de 1273 perles, explique Jean-Marc Sabatier. Certaines de ces perles, et notamment trois d’entre elles, situées en position 403 à 405 du motif RGD (Arginine, Glycine, acide Aspartique), lorsqu’elles se suivent, quel que soit le collier de perles, celui-ci est capable de reconnaître certains récepteurs des cellules humaines appelés ‘’intégrines’’ membranaires, situées à la surface de nos cellules. Les intégrines interagissent avec les protéines de la matrice extra-cellulaire. C’est en quelque sorte la colle ou le ciment qui permet de tenir toutes les cellules.
La protéine Spike du SARS-CoV-2 est la seule à ce jour (contrairement aux autres coronavirus) à avoir ce motif RGD de trois perles. Or, les colliers de perles qui ont cette séquence RGD sont capables de se fixer sur les intégrines à la surface des cellules humaines, elles activent une enzyme (la Caspase-3) qui induit d’autres activations (caspase-8, 9) et tuent la cellule.
Résumons. Nous avons vu que la protéine Spike, virale ou vaccinale, se fixe sur le récepteur ECA2, et provoque la suractivation du système rénine-angiotensine (SRA) via le récepteur AT1R qui déclenche tous les effets délétères dont nous avons parlé. Mais cette protéine Spike a une particularité : elle possède trois perles qui se trouvent au niveau du RBD, la zone de fixation de la protéine Spike avec le récepteur ECA2. Ce qui lui permet de se fixer sur d’autres récepteurs que l’on appelle les intégrines et provoquent la mort de la cellule.
L’étude de ces mécanismes fins et complexes permet d’expliquer pourquoi les personnes présentant un syndrome d’Ehlers-Danlos (appelée encore maladie du chewing-gum) ont plus de risques de faire une forme grave de Covid-19 ou un Covid long.
Jean-Marc Sabatier précise : « Le syndrome d’Ehlers-Danlos (SED) est une pathologie héréditaire rare du tissu conjonctif, avec une incidence moyenne de 1 personne sur 5000. Après avoir rencontré de nombreuses personnes souffrant de Covid long, il est devenu évident pour moi, que la préexistence d’un SED chez une personne confère un haut facteur de risques d’un Covid-19 ou Covid long très sévère. »
Concrètement, les personnes souffrant de cette maladie génétique, doivent éviter les vaccins et surtout les rappels. Certaines souffrent d’un Covid long alors qu’elles n’ont pas été infectées, simplement à cause du vaccin.
Mais jusqu’ici, aucun médecin, aucun virologue, aucun scientifique ne met en garde ces patients des risques mortels qu’ils encourent. Il faut vacciner, vacciner, vacciner… au risque de tuer !
C’est une folie criminelle à laquelle n’ont rien compris la plupart des médecins traditionnels, et dans laquelle se sont engouffrés de trop nombreux scientifiques incompétents et/ou corrompus.
Heureusement, une poignée d’hommes et de femmes intègres, souvent conspués, vilipendés, traités de complotistes, jetés aux chiens, ont sauvé l’honneur de la communauté scientifique.
[Extrait du livre « Covid-19 : Le naufrage de la science » de Marcel GAY avec la complicité de Jean-Marc Sabatier (Amazon)].