Afrique: les grosses erreurs d’Emmanuel Macron
Les propos récemment tenus par Emmanuel Macron sur la fécondité africaine n’en finissent pas de faire des vagues à l’étranger.
Les propos récemment tenus par Emmanuel Macron sur la fécondité africaine n’en finissent pas de faire des vagues à l’étranger.
Le gouvernement tunisien a réaffirmé son attachement au statut privilégié de la langue française, porteuse de valeurs et passerelle vers la vaste Afrique francophone. Cette décision répond aux intérêts supérieurs du pays, tant géopolitiques qu’économiques.
L’érythème kératolytique hivernal, maladie de peau affectant les mains et les pieds, est plus répandue en Afrique du Sud qu’ailleurs. Les personnes touchées descendent toutes d’un marin français.
Tous les Pygmées ne sont pas petits de la même manière. À l’est et à l’ouest de la forêt d’Afrique centrale, deux processus conduisent au même résultat, cohérent du point de vue de l’évolution.
Si cette prise en main de la lutte contre le terrorisme par le président de la République témoigne de sa ferme volonté de protéger les Français, sa mise en œuvre pourrait se révéler difficile.
L’art contemporain africain cherche à se départir de l’étiquette « fétiche » héritée des débuts du XXᵉ siècle et s’aligne sur l’art contemporain occidental, voire l’« art contemporain global ».
Pour la quatrième fois en six ans, des mutins ont tenu la Côte d’Ivoire au bout de leurs kalachnikovs. Pendant quatre jours, une grande partie d’Abidjan et presque toutes les villes de l’intérieur ont été sous leur contrôle.
Depuis le milieu des années 2000, la demande en corne de rhinocéros sur les marchés illégaux a littéralement explosé. L’Afrique du Sud est tout particulièrement concernée.
En distinguant l’idéologie et le processus qui sous-tendent la colonisation, d’une part, et leurs conséquences pratiques, d’autre part, Emmanuel Macron aurait pu voir juste sur un plan juridique.
La COP22 de Marrakech parviendra-t-elle à concrétiser les changements initiés par l’Accord de Paris ? Réponse en sept défis.
La crise actuelle n’est pas seulement la conséquence d’une simple fraude électorale, mais du ras-le-bol contre un État qui s’est ingénié à manipuler la démocratie et à en bloquer le développement.
Trois présidents depuis l’indépendance en 1960 ; la stabilité politique de cet État faiblement peuplé d’Afrique centrale a longtemps reposé sur un système de redistribution aujourd’hui en panne.