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Covid-19 : Une plainte pour empoisonnement prémédité

L’époux d’une infirmière décédée d’un turbo-cancer quelques mois après avoir été  »vaccinée » sous contrainte contre la Covid-19, porte plainte pour « empoisonnement » avec préméditation. Explications et interview.

Vaccination (UnlimPhotos)
Vaccination (UnlimPhotos)

La loi du 5 août 2021 a rendu obligatoire la vaccination contre la covid-19 pour les professionnels de santé. Madame Lehoux, 58 ans, était infirmière au Centre Médico-Psychologique d’une ville de l’ouest de la France. Elle a reçu une injection à ARN messager le 13 janvier 2022. Courant juin 2023, se sentant mal, elle consulte son médecin, puis l’hôpital de sa ville. Le 11 juillet 2023, l’hôpital, son employeur, diagnostique un cancer : un adénocarcinome du pancréas oligométastatique hépatique et surrénalien gauche. Sa pathologie va évoluer d’une manière anormalement rapide (« turbo cancer »), puisqu’elle décèdera 2 mois après le diagnostic, le 16 septembre 2023.

« Un empoisonnement »

Son époux, Pierre Lehoux, apprend, par son entourage, que ce type de cancers étaient apparus en France en grand nombre, quelques mois après le début de la vaccination anti COVID-19.
Avec le recul, et renseignements pris à bonne source, dit-il, il a été convaincu que son épouse a fait l’objet d’un empoisonnement, ainsi que de l’expérimentation d’une biotechnologie sans consentement libre et éclairé. Et, surtout, que la commission de ces infractions avait été soigneusement préparée, par des actes, des déclarations contradictoires et des mensonges. Pierre Lehoux décide alors de saisir la justice (voir ci-dessous). Nous lui avons demandé pourquoi il a déposé cette plainte criminelle entre les mains du Doyen des juges d’instruction du Tribunal Judiciaire de Paris.

Pierre Lehoux : « Une plainte pour toutes les victimes »

Pierre Lehoux a déposé plainte (DR)
Pierre Lehoux a déposé plainte (DR)

Qu’est-ce qui a motivé votre plainte déposée par votre Avocat, Me JOSEPH, à Grenoble ?

Perdre ma femme aussi brutalement, dans la souffrance, après 35 ans de vie commune, m’a anéanti aussi bien moralement que physiquement, j’ai fait un infarctus l’année dernière. Mais aujourd’hui, j’ai trouvé l’énergie nécessaire pour réaliser des recherches et essayer de trouver les causes du décès de mon épouse. J’ai rencontré des chercheurs et des juristes qui m’ont permis de rédiger et d’argumenter cette plainte. Je les remercie du fond du cœur.
Je tiens à dire que je ne recherche pas des indemnités financières, mon épouse est morte et ce n’est pas l’argent qui me la ramènera. Je veux simplement savoir ce qui s’est passé.
Je veux savoir pourquoi ce produit à ARN messager extrêmement dangereux (comme le prouvent les études d’avant 2020 jointes à la plainte) lui a été injecté alors qu’il existait de nombreux traitements pour guérir de la COVID-19 ? Je veux savoir pourquoi l’injecteur ne lui a pas annoncé tous les effets secondaires possibles avant de lui injecter 14 000 milliards d’ARN messager ? Comment une femme en pleine forme de 58 ans peut-elle décéder aussi rapidement d’un cancer ?

Par mes recherches et les attestations de scientifiques présentées à l’appui de la plainte, j’ai la ferme conviction que l’injection anti-Covid-19 et particulièrement la dernière reçue le 13 janvier 2022 avec un vaccin à ARN messager, a causé le « turbo cancer » de ma femme.

Mon avocat m’a informé également qu’étant donné la singularité des faits, la démonstration du lien de causalité n’était plus nécessaire.

Savez-vous si votre femme a donné son consentement libre et éclairé à cette injection ?

Le document que j’ai pu obtenir de l’hôpital précise qu’elle a effectivement donné un consentement sur la base de ce qu’on lui a fourni comme information sur les effets secondaires :
« Réactions douloureuses au pont d’injection, fatigue, maux de tête, fièvre modérée, fatigue, douleur musculaire, frissons, douleur articulaire, et fièvre. »

Ce document de consentement éclairé semble avoir été rédigé à la hâte, sur un coin de table, car il précise à deux reprises « fatigue » et « fièvre », donnant l’impression d’un doublon inutile.
Ce document rajoute un fait exceptionnel : « réaction allergique. »

Compte tenu des informations et attestations que nous avons pu recueillir et que je produis dans ma plainte, il apparait évident que l’injecteur de ma femme s’est bien gardé de lui annoncer tous les effets secondaires possibles connus au jour de l’injection alors que, comme l’explique mon avocat, c’est une obligation imposée par l’article 5 de la Convention d’Oviedo (pour la protection des droits humains dans le domaine biomédical) de valeur supra législative et ratifiée par la France !

En effet, l’article 5 de la Convention d’Oviedo en vigueur en France depuis le 1er avril 2012 oblige le praticien à informer le patient ou la future injectée dans le cas de ma femme de tous les effets secondaires possibles connus le jour de l’injection ensuite, recueillir son consentement libre éclairé.

L’injecteur aurait dû alerter ma femme avant l’injection de TOUS les effets secondaires possibles connus avant son injection, dont notamment :

  • Que l’injection qu’elle a reçue contenait 14 000 milliards d’ARN messagers encapsulés dans des nano particules cancérigènes ;
  • Que les ARN messagers injectés pouvaient neutraliser la protection anti-cancer naturelle ;
  • Que le Système Rénine Angiotensine pourrait se trouver déréglé et donc déclencher toutes les maladies liées à ce dérèglement dont le cancer ;
  • Que le codage génétique de l’ARN messagers injectés avait fait l’objet d’une manipulation conduisant à la production de protéines qui n’avaient rien à voir avec le virus. Quel a été l’effet de ces protéines « fantômes » sur l’organisme de ma femme et sur son génome ? Cette question sur l’éventuelle modification du génome peut à fortiori se poser pour toutes personnes injectées avec cette technologie ARNm (même si elles ne sont pas victimes d’effets secondaires), ainsi qu’à leur descendance strictement interdite en France depuis le 1 avril 2012 par l’article 13 de la Convention d’Oviedo) ;
  • Qu’il y avait plusieurs lots dans le « vaccin » dont un lot extrêmement dangereux (ndlr : en bleu sur le graphique), etc.

20.000 déclarations d’effets secondaires

L’injecteur aurait également dû lui indiquer que, dès le mois de mai 2021, le site officiel de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (A.N.S.M.), site que même un particulier pouvait consulter facilement, faisait état (en 5 mois seulement de vaccinations) de plus de 20.000 déclarations d’effets indésirables, dont 25% graves, et 900 décès !! Ce chiffre était colossal par rapport à toutes les autres campagnes de vaccinations en France depuis un siècle. Ainsi, par exemple, en 2009 / 2010, la campagne de vaccination H1N1 avait été arrêtée au bout de quelques centaines de déclarations.

Or, en ce qui concerne le vaccin covid, en juin 2023, le nombre de déclarations d’effets indésirables était monté à 194.000 dont 25% graves ! Du jamais vu ! Et qu’on ne me parle pas du rapport bénéfices / risques, car courant 2021, le rapport de l’Agence Technique de l’activité Hospitalière (A.T.I.H.), indiquait que, pour l’année 2020, les hospitalisés covid, avaient concerné 2% seulement des hospitalisations, et le nombre de décès covid était proportionnellement, le plus bas de toutes les épidémies que nous avions connues depuis un siècle !
Ainsi, les mensonges des autorités apparaissaient évidents, et l’injecteur aurait dû dire tout cela à mon épouse, car il ne pouvait pas l’ignorer !

Il est préférable pour tout injecteur ou praticien de recueillir le consentement libre et éclairé par écrit puisque, en cas de litige, c’est lui qui devra apporter la preuve qu’il a bien donné toutes ces informations avant de recueillir ce consentement libre et éclairé.

Qu’attendez-vous de cette plainte ?

Sans rentrer dans les détails, j’espère qu’à l’aune de toutes les preuves fournies, un juge d’instruction instruira mon affaire afin notamment que ceux qui ont violé l’article 5 de la Convention d’Oviedo en n’annonçant pas la totalité des effets secondaires connus le jour de l’injection puissent être jugés pénalement.

D’autre part, au regard de tous les éléments qui viennent en appui de la plainte et qui ne pouvaient être ignorés par l’injecteur de mon épouse, je considère que ces faits pourraient être qualifiés pénalement d’empoisonnement.

Si tous les effets secondaires connus avaient été portés à la connaissance de ma femme, elle ne se serait certainement pas fait injecter, même si elle avait dû quitter son emploi d’infirmière. Je suis persuadé que de nombreux soignants auraient pris cette décision s’ils avaient connu les risques d’effets secondaires avant de se faire injecter.

J’espère également que le juge d’instruction nous apportera des réponses sur les faits présumés de préméditation notamment pourquoi des fabricants de vaccins ont préféré utiliser la protéine SPIKE qui contenait des insertions du VIH (SIDA) et dont le codage génétique de l’ARN messager avait été manipulé au lieu de la protéine N Nucléocapside qui était moins délétère pour l’organisme.

J’attends, avec ma défunte épouse, être reconnu par l’institution judiciaire, comme victime de ces actes prémédités. Et je souhaite que la vaccination anti COVID-19, dès lors qu’elle ne respecte pas les règles élémentaires destinées à protéger nos droits, soit considérée comme des actes pouvant encourir la qualification d’empoisonnement, d’assassinat ou d’homicide.

J’espère que mon initiative servira à toutes les victimes d’effets secondaires de ces injections d’ARN messagers, et à leurs avocats.

Plainte avec annexes

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