Les Juifs français face aux attentats et à l’antisémitisme aujourd’hui
Une enquête récente montre que l’attentat de l’Hyper Cacher s’inscrit dans la généalogie d’actes et de violences à caractère antisémites depuis le meurtre de Ilan Halimi en 2006.
Une enquête récente montre que l’attentat de l’Hyper Cacher s’inscrit dans la généalogie d’actes et de violences à caractère antisémites depuis le meurtre de Ilan Halimi en 2006.
Qu’avons-nous vécu au juste ? Une série d’attentats supplémentaires particulièrement meurtriers ? Ou bien un véritable tournant dans notre récit collectif ? Et que sommes-nous finalement devenus ?
Plusieurs pistes évoquées depuis les attaques de Barcelone se révèlent obsolètes au regard des avancées majeures de ces derniers mois dans l’édification d’une Europe de la sécurité.
Centre antiterroriste commun, échange d’informations, directive sur les armes à feu : cahin-caha, l’Union européenne améliore sa coordination interne pour faire face à la menace terroriste.
Comment le souvenir traumatique des attentats du 13 novembre 2015 évolue-t-il dans les mémoires individuelles et les mémoires collectives ?
La police belge a pêché un gros poisson. Un nouveau suspect, lié aux attentats du … Lire la suite
Un adolescent de 16 ans a été interpellé, aujourd’hui, dans la Marne. Il est soupçonné d’être l’un des deux auteurs de la fausse alerte qui a mobilisé les forces de l’ordre, samedi à Paris.
Une attaque « téléguidée par des individus se trouvant en Syrie » selon le procureur de Pais, François Molins : Voilà le projet terroriste de trois femmes âgées de 39, 23 et 19 ans, interpellées dans le cadre de l’enquête sur les bonbonnes de gaz trouvées dimanche près de Notre-Dame de Paris.
Les deux étudiants marocains expulsés le 26 août dernier auraient projeté de commettre des attentats à Metz et au Maroc, selon les informations non recoupées d’un journal arabophone Assabah. Le journal ne cite pas ses sources mais donne de nombreux détails sur les intentions des deux islamistes qui intriguent.
Les enquêteurs ont formellement identifié le terroriste qui a participé à l’assassinat d’un prêtre : il s’agit d’un vosgien de Saint-Dié-des-Vosges.
Analyse des derniers épisodes de la communication présidentielle à la lumière de ce que doit être aujourd’hui une communication responsable et honnête. Notamment en période de crise.
L’Université de Lorraine participe à une enquête nationale qui porte le nom de « 13 novembre ». Elle s’étale sur 10 ans. L’objet de ce programme de recherche : le souvenir traumatique suite aux attentats du Bataclan à Paris et Saint-Denis. Décryptage des motivations et de la méthode de recherche.